Soir Triste (Cravan)
Où l'ennui, votre chien, à vos genoux s'allonge,
Tandis que le remords solitaire ronge
Votre coeur, ver qui ronge un fruit déjà gâté.
Brumeusement confuse ainsi qu'aux yeux un songe,
Et son voile à la vitre effaçait tout mensonge
C'état un soir d'octobre au visage voilé.
Filait à son rouet l'averse monotone,
Tissant un ciel pensif et d'un gris endormi.
Pour flâner un long temps, promeneur parmi
Mes souvenirs rangés en galerie ancienne.
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